Plongez dans l'univers hilarant de Sofiane, un petit garçon dont la journée prend une tournure inattendue ! Accompagnez-le dans cette aventure pleine de rebondissements où l'imagination est reine et les rires garantis. Un récit charmant qui célèbre l'ingéniosité et l'humour des enfants.
Ce matin-là, Sofiane partit à l’école tout joyeux, son cartable sur le dos et son sourire habituel. Il ne se doutait pas qu’une drôle d’aventure l’attendait. En arrivant, la maîtresse annonça : — Aujourd’hui, des médecins vont venir pour faire un petit contrôle de santé à tous les élèves ! Sofiane ouvrit grand les yeux. Il n’avait pas mis de culotte sous son pantalon ! Il sentit ses joues devenir toutes rouges. Un peu plus tard, c’était son tour. Le médecin lui dit gentiment : — Allez, mon petit, enlève ton pantalon. Sofiane recula d’un pas. — Euh… non, monsieur, mais euh… euh… Le médecin, intrigué, demanda : — Ah, peut-être que ton slip est troué ? — Non, non, monsieur ! répondit Sofiane, tout gêné. — Alors, ton slip a des taches ? — Euh… euh… non, non, monsieur ! — Peut-être qu’il est rose, comme celui des filles ? — Non, non, monsieur ! — Ou alors, il est trop petit ou trop grand ? — Non, non, non, monsieur ! Le médecin haussa les épaules et se retourna pour noter quelque chose sur sa fiche. À ce moment-là, Sofiane eut une idée de génie (enfin… presque). Il sortit discrètement un petit ciseau de sa trousse et coupa le bas de son pantalon, juste au-dessus des genoux, pour en faire… un faux slip ! Quand le médecin se retourna, il s’exclama : — Ah ! Bravo Sofiane ! Tu as enfin enlevé ton pantalon ! L’examen terminé, le médecin lui dit : — Tu peux remettre ton pantalon maintenant. Sofiane regarda son « pantalon-slip » tout découpé et devint tout pâle. Mais soudain, il aperçut le pantalon de son ami Nassim, posé sur une chaise. Ni une ni deux, il l’enfila et s’enfuit en courant dans la cour ! Quand Nassim revint chercher son pantalon, il cria : — Mais… mais où est mon pantalon ?! Et toute la classe éclata de rire. Même le médecin sourit : — Eh bien, celui-là, il a plus d’imagination que tous mes patients réunis !
